Les céréales à Saint-Nicolas

L'homme n'avait que ses bras pour travailler et quelques simples outils.

Où sont les champs bariolés égayant en été les coteaux qui entourent les villages de Saint-Nicolas ? De cette grande richesse de travail et de savoir-faire, il ne reste guère que des traces que l'on peut découvrir en montant pas les amples lacets de la route. L'homme n'avait que ses bras pour travailler et quelques simples outils comme la pioche, l'araire, la faucille et le râteau. Le mulet était un précieux compagnon que ce soit pour labourer la terre que pour transporter la récolte. Et s'il faisait défaut parce qu'on était trop pauvre pour le nourrir, c'est avec les toiles de chanvre que l'on rentrait les gerbes à la grange depuis les champs très éloignés situés parfois à l'orée du bois.

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